De
jessicaparkerLe 01/06/25 à 02:55:40
Non mais on se fout de nous.
Et pas un peu. Beaucoup. Frontalement. Avec le sourire.
Les règles ? Écrites noir sur blanc.
Les éliminations commencent au tour 3.
C’est clair. C’est simple. C’est net.
Eh bien non ! Surprise surprise : ça commence au tour 2.
Pourquoi ?
Aucune explication. Aucune justification.
C’est normal ? On ne sait pas.
C’est voulu ? On ne sait pas.
Mais c’est comme ça. Circulez.
Et pendant ce temps-là, vous pouvez voter au tour 3 pour des candidats n’ayant eu AUCUNE voix ni au premier, ni au second tour.
Logique inversée. Absence totale de cohérence.
C’est Kafka chez les bisounours.
Alors évidemment, il y aura toujours une ou deux gourdes aigries , bien connues du service , qui viendront nous expliquer qu’elles avaient tout compris mieux que tout le monde, avant tout le monde, et qu’elles avaient prédit ça depuis 1492, entre deux apparitions de ChatGPT et une vision des Simpsons.
Mais le problème n’est pas là.
Le problème, c’est que les règles avaient été annoncées.
Claires. Publiques. Lisibles.
Et que certains joueurs pouvaient légitimement bâtir une stratégie là-dessus.
Se cacher jusqu’au tour 3, c’était même malin.
Sauf que non.
Parce que l’algorithme, ce grand bouc émissaire numérique, a décidé autrement.
Mais dites-moi… l’algorithme, il s’est programmé tout seul ?
Il a improvisé dans son coin ?
Ou bien quelqu’un, quelque part, l’a codé ?
Avec ses petits doigts ? En validant les lignes une à une ?
On nous prend pour des jambons.
Et pendant qu’on y est, parlons de l’étude.
Oui, celle présentée comme “rigoureuse”, “scientifique”, “professionnelle”.
Nombre de participants ? 15.
Même les sondages de Dinon font plus sérieux. Et c’est dire.
Alors stop.
Assez de magouilles. Assez de règles qui changent en douce.
Assez des candidats qui disparaissent mystérieusement comme s’ils avaient été avalés par un bug divin.
Et assez des organisateurs qui découvrent leurs propres règles en même temps que les joueurs.
Peuple de VPM, réveille-toi.
Cesse d’avaler tout cru des décisions absurdes, sans réagir.
Ce qu’on veut, ce qu’on demande, ce qu’on exige, c’est simple :
Une présidentielle propre. Honnête. Lisible. Équitable.
Pas une énième mascarade codée à la va-vite, sous couvert de “mystère” ou de “logique interne”.
Le jeu ne meurt pas à cause des joueurs.
Il meurt à cause du silence complice face aux incohérences.
Et ça, moi, je ne l’accepte pas.