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FABLES

avatar darkmario
De darkmario
Le 01/06/25 à 06:04:25

Coucou, amateurs d'histoires,
Petites ou grandes, venez sans déboires.
Je vous lance un défi audacieux,
Pour échauffer vos esprits précieux !

Pas besoin de partir en quête de trésors
Pas d’errance sur les chemins, pour quelques pièces d’or
Pas besoin de voyager
Pas de code compliqué

Juste vous asseoir, un fauteuil bien confortable.
Avec un café ou thé ou une boisson fraîche, quelque chose d'agréable
Et quelques douceurs, à grignoter.

Je vais vous conter des fables mystérieuses,
À vous de percer leurs énigmes curieuses.
Car derrière chaque récit, un trésor s'endort,
Prêt à être trouvé.
Ce qu’il faut dénicher
Des noms, des objets, des lieux,
des titres, des personnages fictif .........

Laissez-moi vous offrir un exemple charmant,
Pour vous prouver que c’est évident.
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Un vaisseau géant, orgueil de l'humain,
Vogue vers l'ouest, son destin en chemin.
À son bord, une colombe, au plumage fin,
Promise à un vautour, au regard chagrin.
Voulant en finir et se jeter dans ce grand bain

Mais un moineau hardi, au vol léger,
Croise son regard pur, son cœur s’est envolé.
L'amour naît entre eux deux, plus fort que les rangs,
Unissant leurs esprits, bravant les ouragans
Des conventions hautaines et des liens dorés,
Leur simple affection n'en est que plus sacrée.

Hélas ! La nuit venue, un monstre de glace,
Est percuté et malheureusement cela casse
Dans le chaos glacé, l'onde amère et cruelle,
Le moineau généreux, d'un sacrifice fidèle,
Offre son aile forte, pour que vive la belle,
Et s'abîme en l'abîme, d'un adieu sans querelle.

La vieille colombe, au soir de ses longs jours,
Au vaste océan confie ses amours.
Ainsi périt l'amour, dans un écrin de gloire
Montrant que le cœur simple a souvent plus d'histoire
Que les fastes brillants et les titres sonnants,
Car l'amour véritable défie tous les temps.
-------------------------------------------------------------

Dans les mots se cachent des rimes subtiles,
Des énigmes qui défiant le temps tranquille.
Cherchez les indices, tel est le crime,
Pour dénouer ce conte au charme subtil.
Ici il fallait trouver le film Titanic
Je pense que vous l'aviez tous trouvé :)

Dès le début de la semaine prochaine, j'ouvrirai ce livre de fables pour vous en raconter quelques-unes.
avatar darkmario
De darkmario
Le 02/06/25 à 20:45:41

Bonjour chers amis


Première fable énigme à découvrir
1) les réponses se font par MP
2) pour chaque fable il y'aura 10 pour le premier à répondre, 9 pour le seconde..... jusqu'au 10e
3) Il y'aura 10 fables au total posté au fur et a mesure espacées de quelques jours afin de vous laisser répondre

Installez vous et ouvrez grandes vos oreilles

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Dans une contrée aride, où la loi s'oubliait,
Trois figures rôdaient, que le destin liait.
L'un, rusé comme un chacal, au sourire narquois,
Cherchait dans la combine un illusoire emploi.
L'autre, ours massif et taciturne, au regard de granit,
La force brute en lui grondait, sans aucun délit
Apparent, mais prompt à la fureur soudaine,
Si son chemin croisait une âme trop malsaine.
Le troisième, un renard agile, au passé trouble et flou,
Naviguait en filou, entre le vrai et le faux.
Ni tout à fait méchant, ni tout à fait loyal,
Son intérêt guidait son pas principal.
Pour un trésor caché, fruit d'un mauvais larcin,
Ces trois animaux fourbirent un étrange chemin.
Le chacal par la ruse, l'ours par sa puissance,
Le renard par l'astuce et sa subtile science.
Leur quête fut semée d'embûches et de traîtrises,
Où chacun, à son tour, montrait ses cicatrices.
À la fin, le butin, objet de leur désir,
Révéla l'amertume d'un bonheur illusoire.

Moralité :
La soif du gain facile et les alliances douteuses,
Mènent souvent les êtres vers des fins hasardeuses.
Qu'on soit roublard, brutal, ou d'un charme incertain,
L'avidité excessive n'apporte jamais un sain festin.
avatar mirliton
De mirliton
Le 02/06/25 à 21:13:33

Cool
avatar darkmario
De darkmario
Le 04/06/25 à 00:21:05

Hello

Je vais vous conter la deuxième fable

Il reste encore des points à prendre dans la première fable

Les premiers points ont été gagné

10 Mirliton
9 Dyslxeqiue



Deuxième fable, installez vous confortablement

-----------
Au centre d'une pièce, stable et sans artifice,
Un plateau de bois veillait, humble office.
Des pieds solides, ancrés au plancher brun,
Portaient les joies et les silences de chacun.
Tour à tour, elle accueillait les festins joyeux,
Les rires des convives, les mets délicieux.
Elle supportait aussi les pleurs silencieux,
Les lettres griffonnées, les adieux anxieux.
Le livre ouvert s'y posait, attendant le lecteur,
La lampe diffusait sa douce clarté intérieure.
Les mains s'y croisaient, cherchant un réconfort,
Les secrets murmurés y trouvaient un port.
Elle était le témoin discret des jours passés,
Des projets échafaudés, des espoirs amassés.
Immobile et constante, au milieu du tumulte,
Elle restait le point où les vies se consultent.


Moralité :
Simple et muette, souvent oubliée,
Elle est le cœur discret où les destins sont liés.
Support de nos joies, de nos peines aussi,
Son humble présence est un précieux ami.
avatar darkmario
De darkmario
Le 06/06/25 à 22:05:16

3e Fable :)


Dans une île enchantée,
où le temps s'oublie,
Un jeune oiseau qui jamais ne grandit,
Régnait sur une bande de jeunes volatiles égarés,
Refusant l'envol vers les cieux assurés.
Un jour, il vint à la fenêtre de trois jeunes oisillons,
Qui rêvaient d'aventures, loin de leur tiède maison.
Il les emmena voler, par la pensée légère
Et d'une poudre d'étoiles, à leur âme étrangère.
Dans cette île étrange, ils croisèrent un vieux crocodile borgne,
Capitaine d'une bande de rats à l'air rogue.
Ils vécurent des batailles, des jeux et des dangers,
Avec des plumes sauvages et des cris étrangers.
L'oiseau qui ne grandit voulait garder ses amis,
Dans un éternel présent, sans les soucis permis
Au monde des grands.
Mais la plus vieille des oiselles,
Sentait l'appel du nid, des tendres gazouillis nouvelles.

Finalement, les trois oisillons firent le choix de s'envoler,
Laissant derrière eux l'ami éternellement léger.
L'île resta magique, mais un peu moins peuplée,
Gardant le souvenir d'une enfance envolée.


Moralité :
L'enfance est un rêve qu'il faut quitter un jour,
Pour trouver dans le monde un nouvel amour.
Grandir n'est pas s'éteindre, mais ouvrir ses ailes,
Vers d'autres horizons, de nouvelles étincelles.
avatar darkmario
De darkmario
Le 09/06/25 à 19:51:43

Hellooo


29 Mirliton
28 Dyslxeqiue

Nouvelle fable


Le vieux réveil sonnait, d'un ton monotone,
Le coq, las, s'étirait, sa crête sans couronne.
La poule à ses côtés, d'un œil indifférent,
Lui offrait son plumage, geste peu fervent.
« Beau plumage, dit-il, comme de coutume, hélas !
Mais où s'est envolé l'éclat de tes premiers pas ? »
Elle répondit, feignant une douce langueur :
« Le temps use l'éclat, éteint la primeur. »
Au déjeuner frugal, chacun fit semblant
D'un appétit joyeux, d'un entrain éclatant.
Le coq picora l'orge, la poule quelques graines,
Sans un regard profond, sans une joie sereine.
« Quel beau matin, dit-il, le soleil est vermeil ! »
Elle hocha la tête, sans aucun conseil
D'un cœur qui répondrait à cette fausse liesse.
La coutume engourdit la plus vive tendresse.
Le soir venu, au perchoir, côte à côte ils se mirent,
Sans chercher la chaleur des étreintes premières.
Leurs silences pesaient, lourds de non-dits amers,
Prisonniers du rituel, des gestes familiers.

Moralité :
La coutume, à la longue, use les sentiments,
Transformant les élans en de vains mouvements.
Le cœur, s'il n'est nourri d'une flamme nouvelle,
S'éteint dans la routine, sa joie se démantèle.
avatar darkmario
De darkmario
Le 13/06/25 à 15:10:03

Dans la ville étendue, où les mots sont des armes,
Un grand oiseau blessé, aux ailes pleines de larmes,
Trouva dans le murmure des vers un nouvel espoir,
Quand le sort cruel vint obscurcir son soir.
Sa chute brutale, un plongeon malheureux,
Avait brisé son vol, le rendant douloureux.
Mais au lieu de céder à l'ombre amère et grise,
Il fit de sa parole une nouvelle devise.
Sur les scènes obscures, où les lumières dansent,
Il laissa ses mots graves, avec force, s'élancer.
Son bec devint stylo, sa voix, mélopée étrange,
Contant les vies fragiles, les espoirs qui dérangent.
Le public écoutait, le cœur souvent serré,
Ces histoires sincères, d'un vécu sacré.
Il parla des douleurs, des luttes intestines,
Mais aussi de la force qui en chacun chemine.
Tel un sage hibou, il observa le monde,
Ses joies, ses injustices, sa beauté profonde.
Et de sa propre histoire, il tira un récit,
Un film touchant, où la patience fleurit.

Moralité :
Même blessé, l'esprit peut s'envoler,
Et dans les mots trouvés, une nouvelle force éclore.
L'épreuve, si cruelle soit sa dure école,
Peut engendrer un art qui touche et console.